Le conseiller Rivalis : le médecin chinois de l’entreprise
Dans le monde du conseil, il existe deux approches : celle qui arrive en pompier pour éteindre l’incendie, et celle qui agit bien avant que les flammes n’apparaissent. Dès 1994, Rivalis a choisi cette seconde voie. L’entreprise a inventé un modèle économique précurseur, inspiré d’une philosophie audacieuse et visionnaire : le médecin chinois de l’entreprise.
1994 : Rivalis casse les codes du modèle économique
À l’époque, acheter un logiciel de gestion suivait toujours le même schéma. Le logiciel était vendu à petit prix, comme EBP ou Ciel Compta. Mais pour le comprendre, l’utiliser ou l’installer, il fallait payer des formations hors de prix ou des services techniques dont le coût explosait littéralement.
Henri Valdan et ses associés ont décidé de briser ce système. Ils ont créé une solution à l’opposé de ce qui existait :
- une prestation forfaitaire tout compris,
- incluant logiciel, support, installation, formation et accompagnement,
- le tout sous forme d’abonnement mensuel.
Aujourd’hui, ce modèle est appelé SaaS. En 1994, il était tellement innovant qu’il paraissait incompréhensible. Pourtant, il a permis à Rivalis d’inventer un nouveau métier et d’apporter une vision totalement différente de la gestion d’entreprise.
La médecine préventive appliquée à la TPE
Le cœur du concept Rivalis est simple : prévenir plutôt que guérir. C’est ici que naît l’analogie du médecin chinois.
Autrefois en Chine, le patient payait son médecin… uniquement quand il allait bien. Les visites étaient régulières, prévues à chaque changement de saison. Le rôle du médecin n’était pas de soigner la maladie, mais de l’empêcher d’apparaître.
Et si le patient tombait malade malgré tout, les soins devenaient gratuits.
Le parallèle avec Rivalis est immédiat :
- Le conseiller Rivalis est payé pour prévenir les problèmes, pas pour réparer les dégâts.
- Il effectue une veille mensuelle sur la santé de la TPE.
- Il analyse, commente et ajuste les chiffres pour éviter les crises de trésorerie et les situations dangereuses.
Cette philosophie donne un métier à obligation morale de résultat : si l’entreprise va mal, le conseiller doit agir, anticiper, corriger.
L’indispensable rôle humain du spécialiste du pilotage
L’outil Rivalis – ce fameux “GPS pour les entrepreneurs” – est essentiel, mais il ne suffit pas. L’humain reste au centre. Le conseiller Rivalis est souvent un ancien dirigeant ou cadre expérimenté. Il vient épauler un autre chef d’entreprise en traduisant ses chiffres, en éclairant ses décisions et en lui donnant une vision claire de son activité.
Son rôle n’est pas de gérer la maladie, mais d’aider le dirigeant à comprendre l’origine du problème, à discerner ce qui dépend de lui, et à agir dessus. C’est un transfert de savoir, une relation d’égal à égal entre deux patrons qui parlent le même langage.
L’objectif reste toujours le même :
accompagner l’artisan pour atteindre ses objectifs, sécuriser son entreprise et lui redonner confiance.
Un modèle fondé sur le bon sens et la prévention
En inventant la forfaitisation du conseil, Rivalis a créé une solution solide parce qu’elle est humaine. Le modèle repose sur la veille, la prévention et l’accompagnement continu.
En résumé, le conseiller Rivalis est le médecin chinois de l’entreprise :
il installe un système d’alerte permanent, rassure, prévient et garantit que tout est sous contrôle. Plutôt que d’attendre la faillite ou la crise, il veille à la bonne santé financière de la TPE jour après jour.
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