Objectifs collectifs en entreprise : le défi du Kilimandjaro chez Rivalis

Dans la vie d’une entreprise, fixer des objectifs collectifs en entreprise est souvent plus complexe qu’il n’y paraît. Il ne s’agit pas seulement de chiffres ou de performance. Il s’agit surtout de sens, de cohésion et de confiance.
Chez Rivalis, cette conviction s’est incarnée de manière spectaculaire en 2018, avec un défi jugé par certains totalement absurde : l’ascension du Kilimandjaro.

Après dix années de doutes et de galères, l’entreprise avait déjà prouvé sa résilience. Cependant, cette fois, l’enjeu dépassait le cadre professionnel. L’objectif était clair : transformer un exploit extrême en moteur collectif, et marquer une nouvelle étape dans l’histoire de Rivalis.

L’étincelle d’un objectif collectif assumé

Tout commence loin des bureaux, à Cuba. Damien Valdan lit L’entreprise du bonheur de Tony Hsieh. Il découvre que le fondateur de Zappos, après la vente de son entreprise à Amazon, a gravi le Kilimandjaro.
Sur un ton léger, presque moqueur, il lance alors à Caroline, directrice générale de l’époque : « Chiche ? ».

À ce moment-là, rien n’est encore sérieux. Pourtant, l’idée fait son chemin. Le groupe s’élargit rapidement à Nicolas, figure historique de Rivalis, et à Thierry, ami extérieur au réseau. Tous partent en Tanzanie avec une énorme dose d’inconscience, mais aussi une conviction : fixer des objectifs collectifs en entreprise peut passer par des défis hors norme.

Rendre l’objectif public pour renforcer l’engagement

L’ascension du Kilimandjaro n’est pas un simple trek. Près d’un voyageur sur deux abandonne avant le sommet.
Conscient de ce risque, Damien prend une décision forte : rendre l’objectif public.

Lors d’un congrès, l’équipe annonce qu’elle plantera le drapeau Rivalis au sommet, le 27 octobre 2018. Cette date n’est pas choisie au hasard. Elle correspond au dévoilement officiel du nouveau logo de la marque.

Ainsi, l’objectif sportif devient un objectif collectif d’entreprise. Il n’est plus possible de reculer. L’engagement n’est plus individuel, il est partagé.

Une aventure intérieure avant d’être physique

L’ascension dure sept jours. La dernière nuit est la plus difficile. Le froid, l’épuisement et la nausée s’accumulent.
À 4 806 mètres, soit l’altitude du Mont Blanc, Damien doute. Il annonce au groupe qu’il s’arrêtera là.

C’est alors que la valeur centrale de Rivalis s’exprime pleinement : la famille. Caroline et Nicolas rassurent, soutiennent et encouragent. L’ascension devient une aventure intérieure. Elle oblige chacun à sortir de sa zone de confort pour gagner en confiance.

Finalement, Damien repart. Non pas par orgueil, mais grâce à la force du collectif.

Quand le réseau entier participe à l’objectif

Pendant ce temps, toute la communauté Rivalis vit l’événement à distance.
Partout en France, les conseillers montent sur des terrils, gravissent la Tour Eiffel ou le Markstein en Alsace. Chaque montée symbolique renforce le lien.

Ce moment illustre parfaitement ce que signifient des objectifs collectifs en entreprise. Ils dépassent les individus. Ils créent une dynamique commune, même à distance.

Le sommet, puis l’héritage

L’arrivée au sommet est chargée d’émotion. Fatigue, joie et fierté se mêlent.
Cependant, l’impact du défi ne s’arrête pas là.

Au sommet, Damien demande Caroline en mariage. Un geste intime, mais profondément symbolique. Une preuve de soutien et de confiance dans l’épreuve.

Pour Rivalis, le Kilimandjaro devient un repère. Une référence collective. Il prouve que l’entreprise sait se nourrir de la remise en question et qu’elle possède une solidité humaine exceptionnelle.

Ce que le défi du Kilimandjaro dit des objectifs collectifs en entreprise

Ce défi a montré qu’un objectif collectif en entreprise n’a pas besoin d’être raisonnable pour être efficace. Il doit surtout être incarné.
Chez Rivalis, cette ascension reflète la mission quotidienne du réseau : aider les entrepreneurs à atteindre leur projet de vie et retrouver de la sérénité.

Comme en haute altitude, le doute existe. La fatigue aussi. Pourtant, avec un collectif soudé, l’impossible devient atteignable.

Conclusion

Le défi du Kilimandjaro illustre parfaitement la manière dont Rivalis conçoit les objectifs collectifs en entreprise. Ils ne servent pas à impressionner, mais à fédérer. Ils transforment l’effort individuel en réussite partagée.

Face aux sommets les plus vertigineux, qu’ils soient professionnels ou personnels, Rivalis rappelle une chose essentielle : lorsque l’humain reste prioritaire, le collectif devient la plus grande force de l’entreprise.

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